Quel cadeau de Noël ! Peu avant la fin de l’année, le 20 décembre 2019, la Robotix-Academy a appris que l’autorité INTERREG avait approuvé la demande de prolongation et d’augmentation du projet.
Le Comité de pilotage du programme INTERREG V A Grande Région a informé le consortium du projet que la candidature soumise a été positivement décidée et que l’Academy peut maintenant poursuivre son travail fructueux – pour 18 mois supplémentaires au-delà de 2020 et avec un supplément de 30% du budget initial.
La nouvelle décision d’attribution de la Robotix-Academy prévoit donc un budget de 9,1 millions d’euros et un FEDER de 5,46 millions d’euros. Tous les partenaires de projets financés et associés restent à bord pour continuer à développer et à consolider le pôle de recherche transfrontalier en robotique industrielle. Les actions des projets précédents seront poursuivies et complétées par de nouveaux sujets et groupes cibles.
Dans la première phase du projet (2016-2020), la Robotix-Academy a pu travailler avec succès sur toutes les actions précédentes et s’établir comme une marque. Ainsi, l’Academy est désormais un partenaire unique pour le thème de la robotique industrielle avec un large éventail d’offres : plus de 100 entreprises industrielles en ont déjà bénéficié et une quinzaine d’autres coopérations avec des institutions de recherche européennes ont été établies.
En échange avec les entreprises, d’autres sujets pourraient être identifiés, qui seront travaillés avec les partenaires du projet lors de la deuxième phase du projet (2021-06/2022). Il s’agit notamment des thèmes des robots mobiles et en réseau (logistique), des fonctions robotiques autonomes et de l’IA, ainsi que de la robotique douce et des exosquelettes (soins de santé).
En outre, la Robotix-Academy souhaite approcher les jeunes talents techniques de manière plus ciblée et s’adresser aux élèves dans leur orientation professionnelle (10e année). Les journées d’information, les ateliers et les activités pratiques sont conçus pour rendre la technologie tangible pour les élèves et les enthousiasmer pour les nouvelles technologies. De cette manière, la Grande Région peut assurer son potentiel de main-d’œuvre et ainsi rester attractive pour les entreprises.